dimanche 30 avril 2006

j'ai reçu ce texte dans ma boîte mail

A méditer

>> Chers Amis, Aujourd'hui nous déplorons le décès d'un ami très cher qui
se nommait "Bon Sens" et qui a vécu parmi nous pendant de longues années.
>>
>>Personne ne connaît exactement son âge, car les registres de naissances ont
été perdus, il y a bien longtemps, dans les méandres de la bureaucratie.
>>
>>On se souvient de lui pour des leçons de vie, comme "La journée appartient à
celui qui se lève tôt ", "Il ne faut pas tout attendre des autres" et "Ce qui
arrive est peut-être de MA faute".
>>
>>" Bon Sens " vivait avec des règles simples et pratiques, comme "Ne pas
dépenser plus que ce que l'on a", et des principes éducatifs clairs, comme "Ce
sont les parents, et non les enfants, qui décident ".
>>
>>" Bon Sens " a perdu pied quand des parents ont attaqué des professeurs pour
avoir fait leur travail en voulant apprendre aux enfants les bonnes manières
et le respect. Un enseignant renvoyé, pour avoir réprimandé un élève trop
excité, a encore aggravé l'état de santé de " Bon Sens ".
>>
>>Il s'est encore plus détérioré quand les écoles ont dû demander et obtenir
une autorisation parentale pour mettre un pansement sur le petit bobo d'un
élève, sans pouvoir informer les parents de dangers bien plus graves encourus
par l'enfant.
>>
>>" Bon Sens " a perdu la volonté de survivre quand des criminels recevaient
un meilleur traitement que leurs victimes. Il a encore pris des coups quand
cela devint répréhensible de se défendre contre un voleur dans sa propre
maison et que le voleur pouvait porter plainte pour agression.
>>
>>" Bon Sens " a définitivement perdu sa foi quand une femme qui n'avait pas
réalisé qu'une tasse de café bouillante était chaude, en a renversé quelques
gouttes sur sa jambe, et pour cela a perçu une indemnisation colossale.
>>
>>La mort de " Bon Sens " a été précédée par celle de ses parents : Vérité et
Confiance, de celle de sa femme Discrétion, de celle de sa fille
Responsabilité ainsi que de celle de son fils Raison.
>>
>>Il laisse toute la place à ses trois faux-frères: "Je connais mes droits",
"C'est la faute de l'Autre" et "Je suis une victime".
>>
>>Il n' y avait pas foule à son enterrement car il n' y a plus beaucoup de
personnes pour se rendre compte qu' il est parti. Si vous vous souvenez de
lui, faites circuler cette lettre, sinon ne faites rien!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

bonjour, je suis entièrement d`accord avec ce texte.les enfants sont roi,les professeurs n`ont plus le droit de réprimander,les parents laissent les enfants fairent tout ce qu`ils veulent, et la loi n`en parlons pas. c`est bien vrai le bon sens est mort et c`est bien dommage. une grand-mère écoeurée.